Réussir n’a pas la même signification pour tout le monde, mais nombreux sont les entrepreneurs qui lui attribuent la notion de chiffre d’affaire, de clients, de salariés, de taille de bureau, de notoriété et de rémunération.
Pourtant de nombreux chefs d’entreprise ayant réussi sur ces plans « financiers », ceux définis par les codes de la société, ne sont pas heureux. Ils ne trouvent pas ou plus de sens à tout ça, réalisant que les bons chiffres ne font pas tout, qu’avoir des articles dans les magazines ou être invité à partager leur parcours dans des conférences ne fait pas d’eux quelqu’un d’heureux, et pour certains d’entre eux, ne savent plus pourquoi ils sont encore à la tête de leur entreprise.
Souvent ils n’en n’ont pas conscience, ne savent pas d’où vient leur mal-être grandissant. Lorsqu’ils font le point sur ce qui va ou pas dans leur vie, ils se disent qu’ils ont tout pour être heureux, qu’ils sont arrivés là ou même plus loin que ce dont ils avaient espéré il y a 5 ou 10 ans en lançant leur startup dans leur salon. Matériellement tout va bien, ils sont à l’abri pour un moment, ils peuvent s’offrir tout ce dont ils ont envie, de la belle voiture aux palaces à travers le monde.
Mais voilà, la réussite matérielle, même si elle est importante, ne fait pas tout. Combler ses manques intérieurs en achetant plein d’objets, s’étourdir dans son job en semaine, et dans des séries en streaming le week-end ne nourrit pas intellectuellement et émotionnellement. La réussite n’est alors qu’apparence. Pour les autres, mais pas pour soi. On peut à la fois tout avoir et manquer cruellement de tout.
Tout, c’est la confiance en soi, le bien-être, le sentiment d’être là où on doit être, l’alignement avec ses valeurs, être entouré de sa famille et ses amis, les vrais, pas ceux connus dans des soirées networking. C’est l’envie de se lever chaque matin pour faire bouger les choses, d’être utile dans son domaine, d’être en paix avec soi-même. Le matériel intervient peu dans ces sensations. Accumuler les biens, les pièces de collection, des vêtements et accessoires de marque, payer ses tournées au bar, posséder le dernier iPhone, iPad et Mac avant tout le monde, etc… N’a jamais rendu pleinement heureux, même si cela peut y contribuer.
Pourtant au lancement de la société c’est très souvent l’objectif numéro un : faire un bon chiffre d’affaire, gagner de l’argent et on sera enfin heureux. Tous les soucis s’envoleront pense-t-on. Les soucis financiers et matériels peut-être oui, mais le sentiment de vide intérieur, s’il existait, non.
Alors parfois, il faut savoir se détacher de tout ça pour repartir sur de bonnes bases. Faire un break de quelques semaines ou mois pour savoir qui on est, où on va, ce qu’on veut et se recentrer sur soi-même et ses valeurs profondes. Afin d’écrire sereinement son avenir, de combler ses failles narcissiques, son mal-être, cette perte de sens et d’envie de faire quelque chose de bien de sa vie. Parfois cela passe par une cession de l’entreprise, mais aussi par la création d’une fondation qui financera une bonne cause, ou encore par du mentoring de jeunes entrepreneurs. Tout est envisageable, tout est faisable, dès l’instant où on identifie ce qui fait qu’on est soi et qu’on est arrivé à cet endroit-là à ce moment-là, en oubliant ce sentiment qu’il manque quelque chose pour que sa vie soit complète.
Rien n’empêche de continuer à développer son entreprise, à croitre, à devenir le numéro un de son secteur, mais ce sera fait avec sens et bienveillance, aligné entre ses valeurs, ses paroles et ses actions. C’est seulement à cet instant qu’on peut se sentir apaisé, heureux, et tout simplement soi-même.
Souvent ils n’en n’ont pas conscience, ne savent pas d’où vient leur mal-être grandissant. Lorsqu’ils font le point sur ce qui va ou pas dans leur vie, ils se disent qu’ils ont tout pour être heureux, qu’ils sont arrivés là ou même plus loin que ce dont ils avaient espéré il y a 5 ou 10 ans en lançant leur startup dans leur salon. Matériellement tout va bien, ils sont à l’abri pour un moment, ils peuvent s’offrir tout ce dont ils ont envie, de la belle voiture aux palaces à travers le monde.
Mais voilà, la réussite matérielle, même si elle est importante, ne fait pas tout. Combler ses manques intérieurs en achetant plein d’objets, s’étourdir dans son job en semaine, et dans des séries en streaming le week-end ne nourrit pas intellectuellement et émotionnellement. La réussite n’est alors qu’apparence. Pour les autres, mais pas pour soi. On peut à la fois tout avoir et manquer cruellement de tout.
Tout, c’est la confiance en soi, le bien-être, le sentiment d’être là où on doit être, l’alignement avec ses valeurs, être entouré de sa famille et ses amis, les vrais, pas ceux connus dans des soirées networking. C’est l’envie de se lever chaque matin pour faire bouger les choses, d’être utile dans son domaine, d’être en paix avec soi-même. Le matériel intervient peu dans ces sensations. Accumuler les biens, les pièces de collection, des vêtements et accessoires de marque, payer ses tournées au bar, posséder le dernier iPhone, iPad et Mac avant tout le monde, etc… N’a jamais rendu pleinement heureux, même si cela peut y contribuer.
Pourtant au lancement de la société c’est très souvent l’objectif numéro un : faire un bon chiffre d’affaire, gagner de l’argent et on sera enfin heureux. Tous les soucis s’envoleront pense-t-on. Les soucis financiers et matériels peut-être oui, mais le sentiment de vide intérieur, s’il existait, non.
Alors parfois, il faut savoir se détacher de tout ça pour repartir sur de bonnes bases. Faire un break de quelques semaines ou mois pour savoir qui on est, où on va, ce qu’on veut et se recentrer sur soi-même et ses valeurs profondes. Afin d’écrire sereinement son avenir, de combler ses failles narcissiques, son mal-être, cette perte de sens et d’envie de faire quelque chose de bien de sa vie. Parfois cela passe par une cession de l’entreprise, mais aussi par la création d’une fondation qui financera une bonne cause, ou encore par du mentoring de jeunes entrepreneurs. Tout est envisageable, tout est faisable, dès l’instant où on identifie ce qui fait qu’on est soi et qu’on est arrivé à cet endroit-là à ce moment-là, en oubliant ce sentiment qu’il manque quelque chose pour que sa vie soit complète.
Rien n’empêche de continuer à développer son entreprise, à croitre, à devenir le numéro un de son secteur, mais ce sera fait avec sens et bienveillance, aligné entre ses valeurs, ses paroles et ses actions. C’est seulement à cet instant qu’on peut se sentir apaisé, heureux, et tout simplement soi-même.